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Qui sommes nous

Nous sommes deux amis ayant voyagés régulièrement en Asie du Sud-Est. Nous sommes tombés sous le charme d’un des pays les plus pauvres et le plus isolé de la région. Suite à plusieurs rencontres ces dernières années au Myanmar nous avons décidé d’aider, à petite échelle, à améliorer la situation d’enfants laissés en dehors du système scolaire.

 

Le Myanmar

Le Myanmar compte environ 50 millions d'habitants, 60% sont des Birmans qui débarquèrent il y a 1300 ans du Tibet. C'est pourquoi ce pays est baigné dans le boudhisme et est composé de nombreux moines.
Il est le plus grand pays de l'Asie du Sud-Est et comprend de nombreux sites classés par l'Unesco.

Nous vous invitons vivement à visiter ce magnifique pays, sa population authentique et chaleureuse et de découvrir nos projets au cours de votre voyage.
Les birmans sont très acceuillants et se débrouillent souvent en Anglais.
La meilleure période pour s'y rendre est de novembre à mars (sec et pas trop chaud).

Le Myanmar

La situation actuelle

Bien qu’étant riche en ressources naturelles, le Myanmar est l’un des pays les plus pauvres d’Asie, principalement en raison de la corruption, du déni des libertés fondamentales de la population et d’un conflit persistant avec les minorités ethniques. De plus ce pays est sujet à des régulières catastrophes naturelles.
Même si des améliorations initiées par le nouveau gouvernement issu des élections législatives de 2015 où le parti NDL d'Aung San Suu Kyi remporte une écrasante victoire sur le Parti de l'ancien président le Général Thein Sein, les réformes entreprises sur le terrain économique vont prendre beaucoup de temps. Le chantier est énorme et les défis multiples pour un pays qui est en même temps convoité par de nombreux investisseurs pour ses diverses richesses naturelles et ses possibilités de croissance.
L’envoyé spécial des Nations Unies, M. Quintana, qui déclarait lors de son audition devant le conseil des droits de l'Homme le 12 mars 2015 que "étant donné la vague de privatisations l'an dernier, l'augmentation attendue des investissements étrangers et l'ambition du gouvernement d'accélérer le développement économique, il est à craindre un accroissement des confiscations de terres, des déplacements forcés et diverses violations des droits économiques, sociaux et culturels".
Une majorité de la population survit avec deux dollar par jour, ce qui rend impossible pour certaines familles d’envoyer leurs enfants à l’école officielle qui coûte quelques dollars par mois.
Par conséquent de nombreux enfants dépendent de l’accueil des moines pour leur donner un enseignement minimal.
Ceux-ci ne vivent que grâce aux dons de la population et de quelques organisations étrangères.

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