top of page

Quel plaisir de se remémorer tous les jours des moments comme nous avons pu en passer à Bagan, la plus belle ville de Birmanie! En relisant notre carnet de voyage, 2 passages nous ont particulièrement touchés dans le chapitre "Souvenirs d'une étape importante du voyage Asie 2013". Ce sont nos sentiments sur place, au cœur de cette magnifique culture et entourés de "nos" élèves que nous aimerions partager en les citant ici:


"Lepanjue, ce village digne d'un film de Clint Eastwood, où nous avons passé 3 jours, où nous nous sommes noyés dans la joie de vivre des élèves, où nous avons eu le plaisir d'enseigner, un cadeau qui nous fut rendu en centuple rien que par leurs sourires et leur motivation, où nous étions gênés d'être si bien servis chaque jour, où nous avons même su apporter la musique, un art que nous chérissons depuis notre naissance! Quel bonheur de faire connaissance avec tous ces gens!"

"Quel bonheur inouï d'avoir pu faire ces magnifiques rencontres et d'avoir pu vivre cette expérience hors de commun. Voir ces sourires, cette écoute, ces réponses données par les enfants à l'école, étaient des moments tellement forts que j'en perds les mots. " donner fait encore plus plaisir que recevoir" un proverbe qui convient bien. On a donné toute l'énergie qu'on possédait pour leur apprendre quelques chansons, avec la prononciation, les notes, le rythme, les signes,...mais j'étais tellement fière, la craie en main de les écouter hurler le uns plus fort que les autres ces quelques paroles. Quelques heures de musique au bout du monde, un souvenir inoubliable, un souvenir gravé à chaque fois que je prendrai ma guitare en main. "

En partant, les échos sur la Birmanie nous disaient que parmi tous les peuples au monde; les Birmans étaient les plus gentils et accueillants. Difficile de le croire sans le voir, et pourtant, les quelques jours passés à l'autre bout du monde, et particulièrement aux écoles de Zae-Ta-Wun et Lepanjue, nous ont confirmé cela.

Ces qq jours au bout du monde, étaient des moments de joie, de rencontres extraordinaires avec des villageois au cœur énorme et avec des enfants exceptionnels. les sourires et l'accueil chaleureux seront à jamais gravés dans nos mémoires. Ce sont les souvenirs plein la tête d'enfants plein de vie, que nous avons quitté ce petit coin de paradis qu'est Bagan. jamais nous avons vu une telle soif et envie d'apprendre. Ce fut une expérience incroyable, nous en sortons grandis, les yeux pétillant de joie et le cœur rempli d'amour.
Grâce aux dons, l'école s’agrandit au fur et à mesure, laissant à de plus en plus d'enfants l'occasion de poursuivre leur rêve le plus beau, celui d'apprendre...

Florence et Geoffroy Ghion (2013)

 

Une aventure unique et incroyable.
Le Myanmar est un pays des plus accueillant. Accueillant par sa beauté mais aussi par sa population constituée à grande majorité encore de paysans. Bien que ces gens ne vivent de pas grand choses, ils sont d'un souriant et gentil comme jamais on ne connaitra ailleurs. Très généreux, polis et respectueux les gens nous donnent un sentiment de sécurité et de calme.
Le Myanmar est pays que l'on découvre petit à petit durant son voyage et auquel on s'attache très vite.
Pour couronner ce voyage riche en découverte et souvenirs aussi bien photographique que humains, nous avons eu la chance de donner cours dans le monastère que Tanguy soutient et dans lequel il s'investit grandement.
C'était l'occasion idéal pour, à son tour, donner quelque chose aux gens du Myanmar.
Nous avons donc pu donner cours à des classes de petits et grands écoliers, leur apprendre nos jeux locaux et peut-être aussi leur donner une vision un peu différente du monde.

C'est plein de souvenirs que je suis revenu du voyage en aout 2014 au Myanmar.
Un voyage à l'autre bout du monde qui en vaut la peine et ne laisse pas indifférent
Sébastien Callebaut (2014)


"Nous avons passé une semaine dans les écoles soutenues par Tanguy et Maximilien à Bagan. La rencontre avec les enfants et les enseignants fut d'une richesse inestimable.
Enseigner l'anglais à des enfants si avides d'apprendre fut une expérience inoubliable et très enrichissante.
Vifs, enthousiastes, curieux et toujours de bonne humeur, ils nous ont rappelé les choses essentielles dans la vie: le dialogue, le partage, l'ouverture, la volonté et le travail.
En voyageant dans le pays, nous nous sommes rendus compte à quel point maitriser l'anglais est pour eux un outil indispensable.
Bravo à Tanguy et à Maximilien pour leur investissement dans un si beau projet!

Charline Cogels (2015)


Après 10 jours inoubliables à Mandalay et au Lac Inle. Nous sommes arrivées à Bagan pour donner cours à des enfants du «Zaytawun project » . Quand nous sommes rentrées dans la classe, ils se sont tous mis debout et ont commencé à nous chanter une chanson d’accueil. Enfin! Ce moment tant attendu de tous les rencontrer était arrivé. C’était trop chouette de les voir pour la première fois en classe.
Ensuite ils ont essayé d’apprendre nos prénoms même si c’était pas toujours si facile pour eux à prononcer.
Après on a commencé à donner nos cours qu’on avait préparés à l’avance. On leur a présenté les schtroumfs , ils étaient très intéressés et attentifs pendant les cours. Nous leur avons appris la chanson des schtroumfs et tout de suite ils avaient le rythme et étaient si heureux en la chantant. Ils aiment apprendre, chanter, danser, s’amuser…
Dès qu’on organisait une activité avec eux ils étaient très concentrés et réceptifs. Et une fois fini, ils venaient chaque fois vers nous pour nous demander si c’était bien ce qu’ils avaient fait. Ils veulent bien faire.
J’ai été aussi très impressionnée par leur capacité à dessiner, ils font des merveilles!
Tout ces sourires et ces câlins me manquent tellement !
C’était une expérience magnifique et gravée dans ma mémoire à vie.

Roxane Henry de Frahan (2015)

 

Ce n’est certainement pas évident de se lancer dans un tel projet mais le résultat est grandiose.

De plus, cela nous a permis de vivre une expérience que tout le monde devrait avoir la chance de vivre. Il suffit de s’arrêter et de prendre le temps de s’immerger au coeur de la population et via les enfants, rien de plus facile pour favoriser les contacts.

Grâce à Marie de M, sur place depuis un mois, ns avons tout de suite été adoptées par les moines, les professeurs et les élèves ainsi que leurs familles.

Nous avions préparé quelques cours pour les plus jeunes et pour les aînés nous avons suivi leurs livres de grammaire. Ns étions favorablement impressionnées du niveau des élèves + âgés.

Vs n’imaginez pas avec quelle gentillesse Miam Miam ( prof d’Anglais de 80 ans !) nous a cédé sa place et donner cours à des enfants souriants, attentifs, disciplinés et respectueux doit certainement faire pâlir de jalousie l’ensemble du corps professoral en Occident.

Petit conseil à ceux qui nous suivront : jouer au pendu avec eux, ils sont presque imbattables.

Bravo Tanguy et Maximilien, cela donne envie de vous imiter.

Murielle de Tornaco et Adelaide Englebert de Tornaco (2016 )

Grâce à Tanguy, j’ai eu la chance de pouvoir découvrir un pays magnifique ; très pauvre mais si riche en même temps.

On ne peut rester indifférent à la gentillesse, la simplicité et la générosité des birmans.

 

Ce fût une expérience inoubliable. Les sourires radieux des enfants de Zaytawun et de Lapanju me resteront ancrés. Pouvoir donner des cours d’anglais, jouer avec les enfants, parler avec les voisins, partager un dîner avec les locaux… de choses simples dans notre vie mais qui valent de l’or.

 

Bravo pour tout ce que vous avez obtenu et ce que vous voulez encore réaliser et merci pour cette expérience si enrichissante.

 

Valérie Verhoestraete

Janvier 2016

Les guides-horizons de Braives ont eu la chance et le plaisir de pouvoir participer aux projets Zaytawun en juillet.

Nous avons commencé notre projet humanitaire dans le monastère Zaytawun ou nous avions eu plusieurs classes à notre disposition durant une semaine. Dans la kinder garden nous avions fait des jeux avec les plus petits. Le renard qui passe, la macarena, la danse des canards,… ils y sont tous passés ! C’était un réel plaisir d’arriver le matin au monastère, les enfants nous y attendaient avec impatience. On avait également les classes de première primaire. On a pu leur apprendre l’alphabet et faire des maths avec eux. Les enfants apprennent l’alphabet classique et birman en même temps, pas toujours facile pour les enfants… ! On aurait bien voulu aider à Lapanju aussi, mais suite à la période de mousson tout le village était malheureusement inondé…

Ensuite, nous sommes allés avec Tanguy, Chaw Su Mar et Piu à l’orphelinat à Kanpetlet durant 5 jours. Nous n’avons jamais vu un accueil aussi chaleureux que le leur. Dès le premier instant, des liens se sont créés entre les guides et les enfants. Durant ce séjour nous avons accompagné les enfants à l’école, on a fait des ateliers bricolages avec eux, on a essayé d’améliorer un peu leur pleine de jeu et chaque soir on faisait une grande veillée avec les enfants. Ils nous ont montré leurs plus belles danses et leurs plus beaux chants. Ce qu’on a vécue avec les enfants était quelque chose d’unique qui laissera des traces à vie. Les orphelins sont des enfants super heureux et expirent la bonne humeur. Lorsqu’on arrivait le matin et on voyait leur grand sourire, on savait immédiatement qu’on allait passer une merveilleuse journée avec eux. On ressentait l’énorme solidarité entre eux, les plus grands qui s’occupent des plus petits, c’était magnifique à voir. On ne voit pas passer le temps quand on est avec un groupe de jeunes ainsi, les journées étaient bien trop courtes ! On n’a jamais vu des enfants aussi heureux malgré qu’ils soient orphelins et qu’ils ont bien moins que nous, cela fait réfléchir et on apprend bien mieux à relativiser nos petits pépins quotidiens. Chapeau d’ailleurs au couple qui s’occupe quotidiennement des 50 orphelins, c’est admirable.

 

Partir de l’orphelinat a été très émouvant, tant pour nous que pour les enfants. Nous espérons de tout cœur pouvoir y retourner un jour parce qu’ils nous manquent beaucoup !

A tous ceux qui lisent ce témoignage, on espère de tout cœur que vous puissiez penser à ces petits loups en leur aidant financièrement, en leur donnant des vêtements/chaussures que vous avez peut-être de vos enfants, du matériel de bricolage,… Cela ne vous coûte pas grand chose mais on peut vous assurer que pour eux ça fait toute la différence ! :-)

Un grand merci à Tanguy pour cette expérience inoubliable que t’as bien voulu partager avec nous, on est reparti avec une valise remplie de super souvenirs et l’envie d’y retourner au plus vite !

Louise Jacquet, Guides-Horizons de la 19e de Braives (2017)

Depuis années Tanguy me dit « Sébastien, il faut que tu ailles en Birmanie! ». Cette année, avant de rentrer dans le monde du travail, c’est une occasion unique de m’investir dans ce projet!

Aller en Birmanie était donc dans un coin de ma tête depuis plusieurs années et je n’ai pas été déçu! L’authenticité et le peu de touristes qu’on y retrouve est très agréable et exceptionnel dans cette partie de l’Asie. Après deux semaines de visites -Yangon, Mandalay, Hsipaw, Kalaw, Inle- (idéal pour s’imprégner de la culture birmane avant le projet) me voici donc à Bagan où j’y passerai un petit peu moins de deux semaines. J’y donnerai cours au monastère Jotiparla à des jeunes de 16 à 21 ans. Les premiers jours, il faut s’acclimater au rôle de professeur: faire connaissance avec les élèves, introduire une relation de confiance avec eux, voir comment leur donner cours de manière optimale,… Rester plus qu’une semaine est donc indispensable à mes yeux, tant pour le professeur que les élèves! 

Je me sens très vite chez moi au monastère, j’ai l’occasion d’y manger chaque midi et d’y avoir des discussions très intéressantes tant avec les moines que les élèves. L’hospitalité birmane est inégalable! Grâce à l’aide des sœurs Chaw Su, inévitable lien entre la Birmanie et la Belgique, j’ai pu visiter les autres projets à Bagan: le monastère de Zaytawun et l’école de Lapanjue! 

Le déroulement d’une journée se passe généralement de la manière suivante: je donne cours le matin et l’après-midi j’ai l’occasion de faire quelques visites avec mes élèves, le rêve! Cela permet de découvrir les jeunes autrement et voir leurs sourires durant ces après-midis/week-ends est ce qui m’a le plus touché.

Aller sur le projet m’a aussi permis de voir à quel point les Birmans sont reconnaissants de l’implication et du sérieux fourni par Zaytawun Project mais aussi la bonne réputation qu’entretiennent tous les belges qui vont sur les projets! 

Merci donc Tanguy de me dire depuis des années de m’investir le projet, j’en garderai de magnifique souvenirs! 

J’ai également eu l’occasion de partager une semaine avec Joséphine avec qui on a formé un très bon duo, merci à toi! 

Un conseil donc: si vous avez le temps et que vous voulez vous impliquer, foncez!

Sebastien Binard ( 2018)

"Il est trop souvent rare de pouvoir se rendre compte de l’utilisation et de l’effet de nos dons à une association. Lors de mon séjour à Bagan au mois d’août 2014, j’ai pu mesurer très concrètement tout l’intérêt du projet Zay Ta Wun. Les deux écoles soutenues par des Belges, mais aussi des Américains et des Anglais, sont un bienfait quotidien pour des centaines de petits birmans. Ces enfants de milieux modestes sont issus d’une région somptueuse - ancienne capitale d’un royaume -, longtemps isolée qui s’ouvre à présent au tourisme. Il est essentiel que les populations locales puissent tirer parti de ce développement rapide. À cette fin, de bonnes notions d’anglais et une connaissance de la vie internationale sont nécessaires. Notre présence dans les classes de l’école leur permet de se familiariser aux étrangers. Bien entendu, c’est pour nous aussi une découverte passionnante. Nous avons rencontré des jeunes adorables, souriants, travailleurs et curieux. Ils sont encadrés par des institutrices sévères mais bienveillantes et honnêtes. Que de beaux échanges ! Grâce aux dons, des infrastructures ont pu être aménagées (bancs et toilettes), du matériel scolaire et des uniformes neufs distribués à chacun. C’est un investissement pour l’avenir de ces jeunes, héritiers d’une culture ancestrale. Ils en sont reconnaissants".
Jean-Charles Speeckaert
(2014)

"Pendant un an, nous, les Guides Horizons, avons préparé notre aventure au Myanmar.
Chaque année les Guides Horizons s’engagent à participer à un projet humanitaire. En participant au projet Zay Ta Wun, nous nous sommes engagées pour une aventure inoubliable.
Voir ces petits visages heureux en nous voyant nous réchauffait les cœurs.
Avant de participer au projet la plupart du groupe n’avait jamais enseigner. L’expérience était très positive.
Il y avait un bon contact avec les enfants et ils absorbent les matières comme des éponges !
Ils sont aussi super enthousiastes ce qui donne envie de se donner à 100%.
D’autre part nous avons passé 3 jours à Kanpetlet.
S’occuper des enfants a l'orphelinat était très émouvant.
A nouveau, des enfants heureux avec une joie de vivre inimaginable. Ils n’ont pas beaucoup de moyens, mais ils s’entendent et s’occupent l’un de l’autre, c’était magnifique à voir.
Jouer avec eux n'était pas du tout une tache, mais un réel plaisir. On n’oubliera jamais la veillée que nous avons fait le dernier soir…
Les deux projets sont gravés dans notre mémoire et on y pense encore chaque jour.
On espère pouvoir y retourner un jour…
"

Guides Horizon d'Anvers (2015)

 

"Le projet est une super initiative ! C'est une chance d'avoir pu y  participer et cela m'a apporté énormément de choses. La Birmanie est un pays magnifique et la population y est on ne peut plus accueillante. Je souhaite à tout le monde de pouvoir y aller un jour afin de visiter ce pays extraordinaire et d'avoir la chance de visiter les écoles du projet."
Caroline van Tieghem (2014)
 
"La Birmanie est un pays exceptionnel et inoubliable! Il y a pleins de sites merveilleux à découvrir et les gens y sont tellement aimables. Les enfants et les habitants de l'île où se trouve le projet vous donneront envie d'y rester et de continuer à les aider."
Marie van Tieghem (2014)


Un voyage inoubliable

Début août, Roxane, Delphine et moi sommes parties découvrir la Birmanie. On a commencé notre voyage en visitant différentes belles régions et en faisant un magnifique trekking. Ensuite, on a eu la chance de pouvoir contribuer et agir concrètement dans les écoles du projet. C’était une super expérience de donner cours et être en contact avec des enfants issus d’une toute autre culture. Les deux écoles sont très différentes car Zay ta Wun est proche de la ville tandis que Lepanju se trouve isolée sur une île.

Lorsqu’on est arrivé à Zay Ta Wun, les élèves nous ont accueilli en chantant et on voyait qu’ils étaient très content de nous voir arriver. C’était marrant de se retrouver devant une classe d’une quarantaine d’élèves travailleurs, disciplinés et à l’écoute. De temps en temps, la prof d’anglais venait jeter un coup d’oeil pour voir ce qu’on leur apprenait. On a eu l’occasion de donner cours aussi bien aux grands qu’aux tout petits. Les grands ont déjà un bon niveau d’anglais et ont beaucoup d’ambitions quant à leur futur. Chez les petits on leur a appris l’alphabet et fait des jeux car c’est plus difficile de communiquer. On a entre autre développé le thème des schtroumpfs, des animaux, appris des chansons, dansé, …

L’école de Lepanju se trouvant sur une île de l’autre côté de la rivière il a fallu prendre le bateau. En arrivant sur l’île, on a marché dans la boue jusqu’au monastère car l’île avait été fortement inondée peu de temps auparavant. Vu les conditions, il ne devait pas y avoir cours mais étant donné qu’on était venu, le maître du village a appelé les enfants. Ils se sont alors tous rendus à l’école avec leur bel uniforme blanc et vert. On y a fait un concours de dessin et un petit quizz sur les animaux. Voir ces sourires et ses réponses données tous en coeur était fantastique!

On a également été sur la plaine du Jetty faire quelques animations avec les enfants du village. C’était très amusant de faire des jeux avec eux tel qu’une course de sac à patates, des jeux de balles, … Les gens ont une joie de vivre et sont super généreux malgré qu’ils ne vivent pas de grand choses. C’est un pays paisible où personne ne s’énerve et où il y a énormément d’entraide.

Ce merveilleux voyage au Myanmar était ma première découverte de l’Asie et certainement pas la dernière car on s’attache à la culture, la population et à la diversité du pays. C’est la tête remplie d’excellents souvenirs et une expérience inoubliable que je suis rentrée de ce fabuleux voyage.

Elodie Thijsen (2015)

 

Nous sommes arrivés à Lepanju chargés de matériel scolaire: stylos, crayons, feutres, matériel de bricolage, feuilles à colorier, etc. J’accompagnais ma maman dans une classe d’enfants de 10 à 11 ans. Ils nous attendaient et ils étaient déjà installés sur leur bancs de classe. Les filles étaient à gauche, les garçons à droite. Ils avaient les bras croisés. Waouh, quelle discipline! Ils étaient super curieux de savoir ce qu’on allait leur apprendre. Nous avons organisé un atelier de perles. Je les ai aidés à couper le fil en nylon. En le leur donnant, je me suis vite rendue compte qu’ils ne savaient pas faire de noeud. Il est vrai qu’ils n’ont pas de chaussures comme nous car ils sont pieds nus ou portent des tongs. Alors, nous leur avons montré comment faire un noeud et ensuite, ils ont enfilé les perles. Ils ont adoré cette activité et j’ai trouvé qu’ils avaient beaucoup de talent pour faire de beaux bracelets et colliers. Ce qui m’a surtout frappée chez tous ces enfants, c’est leur sourire. Ils étaient si contents et si fiers de leur travail!

Juliette Powis (2014)

Birmanie Janvier et Mars 2016

Il va falloir faire bref, rassembler et partager les moments les plus importants, en un mot : impossible. Impossible car tout ce que j’ai vécu là-bas fait partie d’un tout essentiel, et inoubliable. Il n’y a pas que les moments forts dont je veux me souvenir, mais de chaques détails, sourires, regards, odeurs, paysages, paroles, gestes échangés car c’est cela que fut mon voyage, mon expérience ; avoir pu vivre leur quotidien. Promis, j’abrège tout de même J !  J’ai eu la chance de pouvoir passer au total 2 bons mois en Birmanie. Un premier mois au sein de l’école Zaytawun, où j’ai pris plaisir à enseigner l’anglais, principalement aux 2 classes les plus avancées.  Les élèves sont curieux, avides d’apprendre et restent, évidemment, très heureux lorsqu’on s’écarte un peu des livres (partout pareil c’est évident). Une joie, vraiment, d’avoir pu rester, si longtemps, et sentir un lien se former, savoir que le matin ils t’attendent.

En retournant en mars, après un mois de “pause Birmanie”, je reviens enchantée avec un visa tout neuf ! C’est reparti pour 28 jours ! Heureuse de revoir toute la famille “Chaw Su” qui m’accueille à nouveau comme un membre de leur famille. J’attends quelques jours avant de repartir pour Kampalet, l’orphelinat. J’y suis restée 5 jours, le temps de vider ma valise remplie de bricolages en tout genre. J’ai été émerveillée par la créativité des enfants et leur débrouillardise. Ils ont éparpillé tout le matériel sur le sol, colle, peinture, paillettes, dans toute la pièce et stickers sur leurs joues ! Après 5 jours, il n’y avait plus qu’une faible trace des longues journées de bricolages qui avaient eues lieu dans la pièce. Tout le matériel s’était transformé en d’incroyables créations : dessins, peintures, masques, colliers et bracelets... et toujours des sourires, des chants...  Ils ont un respect hallucinant l’un envers l’autre et accomplissent leurs tâches attribuées à la lettre! Tout le monde participe à la vie collective et quelle magnifique vie en communauté! Merci pour tout cela.

Je suis super heureuse d’avoir pu participer à ces 2 projets, différents mais en même temps tellement similaires. Le fait d’avoir pû y rester longtemps, m’a permis de me sentir appartenir à leur humanité. Les liens se créent, on prend le temps. Il est évident que le retour au pays en est d’autant plus difficile mais, en même temps, merveilleux car je sais que dès que l’occasion se représentera, ils seront là.

Je n’aurais pas pû rêver mieux, comme année transitoire après mes humanités. J’en sors grandie, avec des yeux encore plus grands et admiratifs de, malgré tout ce qui peut se passer actuellement, la richesse et la beauté de notre monde. Merci à toi Tanguy. Sans toi, rien de cela n’aurait pu être vécu. Birmanie, à très bientôt.

Marie de Meeus ( 2016)

On a été complètement bluffé et touché par les contacts et moments passés avec les enfants de Kanpelet; ce groupe de 60 gosses qui s'autogère ( presque), témoigne de tellement de solidarité, de générosité et de respect entre eux !. Chacun a sa place, chacun a son rôle. Ils gardent à tous moments le sourire malgré les petits moyens à leur disposition. Mille merci pour ces moments que nous avons pu passer en famille avec les enfants au sein du projet et bravo pur les belles actions de Zaytawun"

Famille Debloedts (2017)

Nous avons eu la chance de passer 5 jours extraordinaires à Bagan. Notre séjour dans ce magnifique endroit fut inoubliable grâce à la découverte du site archéologique époustouflant, mais il restera d’autant plus gravé dans notre mémoire grâce à la découverte humaine qui nous a rempli de joie. A deux reprises nous nous sommes rendus dans le village de Lapanju où nous avons été à la rencontre de nombreux enfants, enseignants et moines qui animent ce lieu avec le sourire et avec simplicité. Nous pensions pouvoir y apporter un peu de notre connaissance mais finalement nous nous sommes rendus compte que nous avons reçu une bien plus grande leçon d’amour et d’humanité que ce que nous aurions pu donner. Nous avons été émerveillé de l’enthousiasme et de la joie que tous nous ont communiqués sans retenue pour les petites attentions et petits gestes que nous avons pu donner qui dans notre monde occidental pourraient paraitre banales et ne suscitant que peu d’intérêt. Par exemple, ce fut magique de voir des étoiles dans les yeux de chaque enfant d’une classe entière lorsque nous faisons apparaitre quelques dessins et des crayons de couleur. Ils sont alors concentrés et appliqués sur leur dessin (parfois à plusieurs, car nous n’avions pas prévu assez de feuilles), tout en partageant et échangeant les quelques crayons de couleur qu’ils avaient, tout cela dans le plus grand calme et la gentillesse. Aucun d’eux n’aurait pensé à gâcher ce moment unique par une dispute. Nous avons également été marqué par la vague d’excitation et de joie qui a déferlé sur nous lorsque nous leur avons offert un grand poster avec une photo de toute l’école prise lors de notre précédente visite. Chaque instant passé à Lapanju a été un pur bonheur dès notre arrivée dans le village où nous avons été accueillis à bras ouverts. Leur envie de partager et d’exprimer leur joie est tellement grande et sincère qu’elle surpasse très vite leur timidité et font disparaitre la barrière de la langue. Tout cela a permis de construire des expériences riches et vraies avec presque rien, si ce n’est que de l’amour. Un immense merci à Tanguy et à notre adorable guide Chaw Su Phyu de nous avoir permis de rentrer en contact avec ce merveilleux projet !

Coralie de Villers & Gaëtan Lamaille (2018)

Un mois en Birmanie, dont deux semaines à Bagan au sein d’un projet… et que de souvenirs ! En effet, j’ai passé les deux premières semaines de mon voyage en Birmanie à donner des cours d’Anglais tous les matins de 8h à 10h. Les élèves ont autour de 18 ans et cherchent à améliorer leur Anglais pour leur vie future. Ils sont accueillants, motivés, cherchent à apprendre… et toujours souriants. 

Les cours sont donnés dans un monastère. C’était l’occasion de découvrir cette vie monastique dans le bouddhisme, tellement omniprésent en Birmanie. L’après-midi, c’était aux élèves de devenir professeur : ils me faisaient visiter de multiples endroits, pagodes secrètes, musée archéologique, danses traditionnelles, et le tout… en anglais ! Merci pour tous ces beaux moments.

Josephine Lebrun (2018)

Au milieu de notre voyage en Birmanie, la journée consacrée aux projets "Zay Ta Wun" en compagnie des deux soeurs Chaw su Hlaing et Chaw su Mar fut un moment inoubliable.

A Bagan, les classes de l'école nous ont accueillis avec des chants; quelle chaleur de bienvenue!

Nous avons vu des enfants souriants, disciplinés et attentifs dans des classes très chargées, des professeurs enthousiastes dont une enseignante retraitée bénévole leur donnant cours d'anglais. Un jeune est même venu nous parler en anglais et nous montrer à quel point il était motivé...Beaucoup voudraient être "guide touristique", ce qui leur assurerait un meilleur niveau de vie.

Le moine responsable de cette école, très positif, nous a expliqué ses projets d'avenir. Les enfants de l’école, orphelins ou pauvres et dont le nombre croît d'année en année, auront une chance de s'en sortir dans la vie grâce aux dons et aide en tout genre qu’ils reçoivent.

C'est avec émotion que nous les quittons.

Le second projet nous attend.

Nous voilà partis en long-tail vers l'autre rive de l'Ayerwaddy. Les deux soeurs, la tante et d'autres membres de la famille nous accompagnent. Après 3/4 h, nous débarquons de l'autre côté du fleuve, pas loin des femmes lavant leur linge dans le fleuve. Pendant un bon moment, nous marchons à travers champs.Tous sont pour nous d'une extrême gentillesse et très prévenants tout au long du chemin qui nous mène au village. Tout est propre, mais la vie est difficile et les besoins sont immenses. La différence est énorme entre l'école de la ville (qui semble s'en sortir ) et l'école de la campagne. Ici nous sommes plongés dans la dure réalité de la vie birmane .

A l'école, les vêtements neufs que nous avons apportés sont immédiatement endossés par les enfants et les cadeaux distribués. Quel bonheur dans les yeux de ces bambins ...

Nous sentons à quel point notre aide est importante et que le "bouche-à-oreille" doit absolument fonctionner. Notre voeu le plus cher est que chacun qui va en
Birmanie prenne contact avec ce projet et les deux soeurs. Il sera accueilli comme l'un des leurs et pourra ainsi apporter sa pierre à l'édifice (argent, matériel scolaire ou nouveaux vêtements ...) et il reviendra en Belgique avec plein d'étoiles dans les yeux et dans le coeur en sachant que ces vacances n'ont pas été que touristiques.
Bernadette et Jean, Myriam et Christian (2014)

 

Cet été, j'ai eu la chance de partir au Myanmar avec maman et des amis.
Nous avons visité ce pays extraordinaire et rencontré ces habitants très chaleureux.
Lors de ce voyage nous avions l'impression de remonter le temps.
Ils vivent simplement et fabriquent tout ce dont ils dont ils ont besoin.
Ce sont des artisans hors pair.
Beaucoup habitant dans de petites maisons, en bamboo, sur pilotis.
Chaque année, certains d'entre eux sont inondes au moment de la mousson.
Mais malgré ça, la joie de vivre est bien présente, ils gardent tous le sourire quoiqu'il arrive!

 

Tanguy, qui s'occupe d'écoliers depuis plusieurs années, nous a montré certains de ses projets, Zaydan-Myanmar.
Au moment de la mousson nous avons découvert le village Lapanju situe sur la rivière Irrawaddy.
Bien que les maisons soient en hauteur plusieurs d'entre elles étaient sous eau.
Nous avons alors apporte des vivres: du riz, des nouilles, de la sauce, des biscuits...
Ils étaient ravis.
Le chef du village les a distribués aux habitants.
Là, je me suis fait un nouvel ami birman qui m'a emmené dans le village en pirogue.
Les gens étaient très accueillants c'est un moment que je n'oublierai pas.

Quelques jours plus tard je suis allée dans dans une école a Bagan.
Cette année Tanguy a offert un nouvel uniforme aux professeurs.
Il a aussi fabrique une table de Ping-Pong.
Ils ne connaissaient pas ce jeu, mais ils ont tout de suite adore!
J'ai même joue une partie avec le professeur de math il était fort!
Ensuite, j'ai donné cours les enfants étaient très doués.
Apres nous avons joues a " j'ai perdu mon mouchoir ", a la balle et fait des courses relais.
Nous avons chanté et écouté des chansons occidentales qu'ils ont adores

J'ai partage des moments inoubliables avec ses enfants, ce fut une expérience incroyable.
Je me suis rendu compte de la chance que j'avais de vivre sans crainte de la faim, l'inondation, la maladie...
Tout ca nous semble normal mais là-bas ce n'est pas le cas.
Ils étaient si contents de l'aide qu'on leur a apporté et du temps passé en leur compagnie ce que fait Tanguy est vraiment important pour eux.

Helene Regout (2015)

 

Il y a tant d’anecdotes à raconter à propos de notre voyage au Myanmar. Je reprends une journée qui, parmi tant d’autres, m’a particulièrement touchée. 

En partant le matin tôt en bateau de Nyaung OO près de Bagan, je n'imaginais pas être catapultée au Moyen Âge. Et pourtant … Nous avons remonté le fleuve Irrawaddy pendant une heure et demie avant d’arriver sur l’île de Lepanju. Là, c’est vraiment le bout du monde! Quand nous sommes arrivés, une charrette tirée par des boeufs nous attendait pour nous mener vers l'unique village de l'île. Dans l'école, nous avons rencontré des enfants pleins d’attentes et d’espoir. Après quelques heures passés ensemble, c’était le moment des au-revoirs. Nous leur avons laissé quelques cadeaux. Et nous sommes repartis, nous aussi, avec un merveilleux souvenir: leur joie d’apprendre. Jay-zu-be (‘merci’ en birman)!

Virgine Powis(2014)

 

La Birmanie… Un pays qui nous faisait rêver depuis si longtemps !

A nous trois, sac à dos sur notre dos, on partait à la découverte de ce pays au charme insoupçonné, à l’accueil si chaleureux de ses habitants, à la rencontre des centaines d’enfants avec ce sourire merveilleux.

Florence y partait pour la deuxième fois déjà, emportant avec elle sa sœur Bénédicte et une amie Elisabeth. La rencontre des enfants de Kampalette, une grande première pour nous tous était l’étape la plus marquante du voyage. Assis en cercle, la veillée scout version birmane était un moment magique partagée avec ces enfants du bout du monde. Leurs chants nous emportent, la magie Birmane nous envoûte.

A l’école de Lepanju aussi, les cours d’anglais se donnent dans une ambiance extraordinaire, tous écoutent attentivement et répètent en chœur après nous tous les mots appris. Cette fois-ci aussi, les chants de la Mélodie du Bonheur sont chantés et à notre grande surprise bien retenus et d’autres chants s’apprennent avec autant d’enthousiasme, une chose est sûre, ces enfants aiment chanter !

On s’y plait tellement que les au revoir sont plus durs qu’imaginés, mais les enfants de Lepanju, de Zay-Ta-Wun et de Kampalette continuent à nous faire rêver depuis la Belgique. Et une promesse a été faite, ON Y RETOURNERA !

Florence et Bénédicte Ghion, Elisabeth Rubbers

Nous nous sommes rendus tous les trois en Birmanie fin juillet-début août 2016. Nous avons eu la chance de voir les réalisations faites au monastère bouddhiste de Zaytawun à Bagan ainsi que l’école du village plus isolé de Lepanju. C’est incroyable de se dire que ces élèves, issus de milieux modestes, n’auraient peut-être jamais pu rejoindre les bancs d’école. Grâce à toute l’équipe birmane sur place et au dévouement et aux investissements belges, ces petits enfants birmans peuvent envisager un avenir plus serein qu’avant. Leur soif d’apprendre et leur curiosité d’esprit sont leur plus bel allié. Ce sont eux qui formeront la Birmanie de demain. Tanguy nous a gentiment introduits auprès de la famille « Chaw Su » ainsi qu’auprès des principaux responsables des écoles concernées. Nous avons notamment rencontré une Birmane qui, il y a 6 ans à peine, fréquentait l’école de Zaytawun et qui, aujourd’hui, va commencer des études d’ingénieur à l’université. L’impact sur leur quotidien est donc bien réel. L’impact sur notre quotidien l’est aussi. Il est difficile de sortir indemne de cette expérience en Birmanie! Nous avons donné des leçons d’anglais aux élèves birmans, eux, nous ont donné des leçons de vie. Nous nous souviendrons toujours de leurs sourires jusqu’aux oreilles et de leur générosité du cœur. Ce n’est pas un hasard si la Birmanie est le pays le plus généreux au monde…

Céline Delinte, Pascaline Cardon, Gérald Kervyn

Durant les 2 premières semaines de notre voyage en Birmanie, nous avons découvert la beauté du lac Inle et de ses alentours, l’authenticité d’un trek à Hsipaw, la ville très British de Pyin U Lwin et enfin le tumulte de Mandalay. Après ce programme bien chargé, nous nous sommes dirigés vers Bagan pour s’émerveiller devant ces milliers de pagodes perdues dans un site gigantesque. Quel bonheur de découvrir toute cette richesse culturelle en se promenant dans cette plaine tranquille. Notre voyage a ensuite pris une tournure différente et beaucoup plus humaine avec l’investissement dans un nouveau projet de l’organisation Zaytawun au monastère Jotiparla à Bagan. Celui-ci consistait à donner cours d’anglais à une vingtaine d’étudiant(e)s birman(e)s de 17-22 ans qui sortent de l’école secondaire et aspirent à des études universitaires ou à une carrière de guide touristique. L’apprentissage de l’anglais est en effet une des pierres d’angles du développement exponentiel de ce pays. Nous avons été interpellés par la soif d’apprendre de ces étudiants, par leur joie de vivre et par leur respect de notre travail d’enseignants imparfaits dont nous avons endossé la casquette durant 3 jours. Il faudrait un trop long discours pour décrire ce que nous avons vécu durant ces périodes de cours donc nous nous limiterons à deux petites anecdotes :

· Lors d’une des journées de cours, nous avons fait lire à notre classe un texte en anglais traitant de la Belgique pour leur faire découvrir notre pays. Un des paragraphes expliquait le rôle du Roi Philippe que nous avons résumé en disant que celui-ci n’avait pas de réel pouvoir mais bien un rôle consultatif et d’unité nationale. Quelle ne fut pas notre surprise de découvrir dans l’expression écrite d’un des élèves le lendemain : « Aung San Su Kyi is the head of state but she can just give advice, go around the country and abroad and meet with foreign countries like the King in Belgium ». Nous avons beaucoup apprécié cette touche d’humour qui nous montre que les élections au Myanmar ont permis davantage de liberté d’expression mais sont encore loin de transformer le pays en une réelle démocratie.

· Nous avons eu une autre surprise lors de l’enseignement de notre cours de secourisme. Etant médecin, je désirais en effet faire une petite leçon sur les premiers soins en anglais. Nous avons pris quelques problèmes courants tels que le traitement d’une gastro-entérite, la prise en charge d’une coupure, d’une brûlure, … Nous avons été fort étonnés lors de l’interaction avec les étudiants quand ceux-ci nous ont indiqué que le meilleur traitement d’une brûlure résidait dans l’application quotidienne de miel et que pour une bonne guérison de plaie, il fallait faire une décoction de feuille d’arbre à emballer dans un morceau de linge. Nous avons ensuite exposé notre manière de faire en Europe mais nous nous sommes bien gardé de contredire ces pratiques de médecine traditionnelle qui ont peut-être les mêmes vertus curatives que les nôtres.

 

Merci au projet Zaytawun de nous avoir fait profiter d’une telle expérience humaine. Merci aux Birmans pour leur accueil généreux et désintéressé, leur joie de vivre et leur grand respect de l’autre.

Ludovic Powis et Mathieu (2017)

In August 2018 I was given the opportunity to teach English in the Jotiparla Welfare Monastery of Nyang-U, near Bagan, for a few weeks. What a great experience to be working with young people who are at the beginning of their lives: either in between college and a job in the tourism industry, or preparing themselves to go to university. No matter their age or plans for the future, they all have one thing in common: they aspire a good future and are aware that English is a stepping stone to realising that vision. Teaching was a lot of fun, and a very enriching experience for myself too as they shared with me their dreams, hopes and fears. Through the exercises we did together, one of them being “Tell me what Myanmar will look like in 10 years time', I learned about their history, economy, culture, scholar system etc. There is no better way if one wants to travel and get to know a country. Beautiful memories!
    Lian Verhoeven, August 2018

bottom of page